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Quartier de l'Horloge

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Quartier de l'Horloge

A PROPOS

Le Quartier de l'Horloge est avant tout un lieu de vie et de travail au coeur de Paris. Un quartier nouveau, à l'image des villes nouvelles. C'est aussi un lieu de fêtes. Le blog parle de sa gestion et des enjeux pour ses 3000 habitants.

DERNIERS ARTICLES

Madame la Maire, j'ai une idée! - Un Jardin partagé dans le Quartier de l'Horloge

Les parisiens ont dit oui! Le projet du Collectif du Blog du Quartier de l'Horloge pour le budget participatif de la Ville de Paris a été retenu!

Madame la Maire, j'ai une idée! - Un Jardin partagé dans le Quartier de l'Horloge
UN GRAND MERCI POUR VOS SOUTIENS!
ET UN GRAND MERCI A LA VILLE DE PARIS DE PARTAGER AVEC SES HABITANTS LA POSSIBILITE DE FAIRE EVOLUER NOTRE VILLE!

PASSONS ​ DU REVE A LA REALITE - REJOIGNEZ-NOUS!

Notre souhait:
Moins de béton plus de nature
Un lien entre les habitants du quartier et les parisiens
Un jardin décoratif et productif
Un lieu d'échange ouvert, éducatif et social 

Création de jardins potagers, un nouveau lieu de rencontre et d’échange.

Alors un quartier cité, en difficulté dans les années 80-90, en plein coeur de Paris, avec 30% de HLM. Aujourd’hui ses habitants et copropriétaires souhaitent s’investir dans l’amélioration des espaces publics en introduisant des espaces verts au bénéfice de tous.

200 m2 de jardin partagé pour cultiver ses fleurs, ses légumes… et se rencontrer entre générations.

Le jardin apportera de la végétation dans un quartier minéral et bruyant, il atténuera le bruit, sera beau et productif. Refuge pour les papillons, et pour la biodiversité, ce sera aussi la cinquième façade d’un bâtiment, triste, que surplombent 180 logements. Le Centre médico-psychologique (CMP) de l’Hôpital Esquirol, connu comme le 'dispensaire', possède 6 toitures terrasses dans le Quartier de l'Horloge que nous proposons de rendre accessibles afin d’en faire de véritable jardins de Babylone ouverts aux parisiens. Mais le potager pourra aussi s'étendre à d'autres lieux.

En collaboration avec les associations existantes, le projet souhaite impliquer l’école maternelle et la Petite Horloge dans des actions éducatives autour de la relation entre les plantes et les insectes qu’elles attirent.

Le coût du projet s’explique par la nécessité de créer des escaliers d’accès dédiés et des barrières de sécurité. Le jardin potager est prévu dans des carrés rehaussés, sans impact sur l’étanchéité des toitures existantes.
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Madame la Maire, j'ai une idée! - Un Jardin partagé dans le Quartier de l'Horloge
Suivez la page FACEBOOK du Collectif pour un Jardin partagé dans le Quartier de l’Horloge.

Site du budget participatif de la Mairie.
 
Contact: q2h@free.fr​
 

http://www.quartierhorloge.fr/Madame-la-Maire-j-ai-une-idee-Un-Jardin-partage-dans-le-Quartier-de-l-Horloge_a76.html

289 000 euros d'économies? C'est facile, gratuit et immédiat!

Appliquer les règlements du QUARTIER DE L’HORLOGE rapportera 289 000 € aux habitants en 2015.

289 000 euros d'économies? C'est facile, gratuit et immédiat!
Nous avons reconstitué le « DRAP DE BAIN » 2014 du Quartier de l’Horloge, soit la répartition des charges ASL entre les immeubles. Nos découvertes sont très encourageantes sur la composition de nos charges. De grandes économies sont possibles immédiatement par le simple respect des règlements !
 
Les « cahiers des règles d’usage et d’habitation, et de construction », appelés CRUH 2, 3A et 3B définissent les règles de répartition des charges du Quartier de l’Horloge.  Le "drap de bain" reprend l’interprétation comptable des règlements de répartition des charges. L’imputation de chaque dépense de l’ASLQH est justifiée par un article du règlement (CRUH) en raison d’un service effectué, d’un équipement ou d’une consommation,  par l’association au bénéfice d’une copropriété aux charges et conditions (art.3, statuts) déterminées d’accord  avec les copropriétaires !

Le Conseil de gestion, vérifie la correcte application du règlement (art. 21, statuts) et la répartition des charges proposée par son directeur.
 

Voici donc comment économiser 289 000 € cette année:

A.    Bien imputer les charges de sécurité incendie. Une économie de 700 000 €!

Les charges de sécurité incendie, environ 700 000 euros, doivent être imputées dans la grille N°6, selon l’art. 37.4.1 d) et non dans la grille N°5 d’alarme de fonctionnement, selon l’art. 37.401 c).
  1. Il faut séparer les alarmes de fonctionnement (simple pannes) des alarmes incendies (réglementaires).
  2. Les charges de fonctionnement sont supportées par les 15 copropriétés en fonction des points d’alarme de fonctionnement.
  3. Les charges de sécurité incendie sont répartie entre les 3 copropriétés de commerces SOCOPAR et les bureaux. (et historiquement la résidence service).
 
B   Le travail doit être imputé au temps passé à tel ou tel bien ou équipement selon l’art. 38.1 
 
  1. Au lieu d’être imputées, sans décompte des heures, dans les alarmes de fonctionnement, les heures de travail doivent être affectées directement à l’une des 50 grilles de répartition des charges. Soit directement à tel ou tel bien ou équipement. (rues, chauffage, antennes TV, etc.)
  2. La répartition (horizontale) dans les grilles assurera une juste affectation en fonction de l’équipement réel des immeubles.
     
C   Chaque alarme de synthèse vaut 10 points selon l’art. 25.10.

La grille N° 5 qui est utilisée par Loiselet & Daigremont comporte trois erreurs.
  1. Les alarmes de fonctionnement et les alarmes de sécurité incendie sont mélangées. (Point A ci-dessus). Il faut retirer les alarmes incendies de la grille N°5.
  2. Les alarmes de fonctionnement (dite de synthèse) sont comptées 1 alarme = 1 point au lieu de 1 alarme = 10 points. La somme des alarmes de fonctionnement est de 5047 et non 573. Les caméras ne représentent ainsi que 1.3% et non 18% !
  3. Le travail doit être imputé directement aux biens et équipements auxquels ils se rapportent et non en fonction des quotes parts de participation aux charges.
  4. Le coût des alarmes de fonctionnement est d’environ 25 000 à 30 000 €, à répartir aux 15 copropriétés concernées.

289 000 euros d'économies? C'est facile, gratuit et immédiat!
Les habitants bénéficient de 71% des voix au Conseil de gestion (2012-2015), car il est composé des syndics de copropriété KMS Gestion, Geralpha Gestion et Immo Balzac, ainsi que de 2 copropriétaires. Il est donc facile de faire appliquer nos règlements et faire respecter la gouvernance.

Nous pouvons changer les habitudes ! Car l’irrespect de la gouvernance (composition et rôle du conseil de gestion), le mauvais usage des droits de vote (pas de vote suivant les grilles) et la mauvaise application du règlement de réparation des charges conduisent à 289 361 € mal affectés en 2014.

Trois cabinets, Plisson – KMS Gestion, Immo de France (ex-ICADE) et Loiselet & Daigremont gèrent 10 immeubles sur 15 et totalisent 77% des charges de l’ensemble immobilier.  
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EXCLUSIF !

Téléchargez
ci-dessous le "DRAP DE BAIN 2014", la grille N°5 (alarmes de fonctionnement) et ce texte.

Téléchargez le "Plaidoyer pour une gestion éthique", 25 pages d'explications techniques et 5 pages d'extraits des textes relatifs aux charges!

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http://www.quartierhorloge.fr/289-000-euros-d-economies-C-est-facile-gratuit-et-immediat_a78.html

Portrait de Jean-Claude Bernard, architecte du Quartier de l'Horloge

L’architecte Jean-Claude Bernard, l’œil vif et la pensée alerte, nous a reçu en fin d’après-midi le 6 mai dernier, dans sa maison de ville sur une butte parisienne, pour parler du Quartier de l’Horloge. Las de la vie en copropriété, avec ses conflits permanents et ses problèmes de construction, il a quitté avec sa femme, l’étage élevé d’une tour avec vue sur tout Paris. Projetant tout d’abord une retraite dans le sud il avait posé une condition: ‘‘Trouve-moi alors une maison’’. Ainsi, aujourd'hui, entouré d’art asiatique dans un décor moderne, le salon ouvert donne sur un jardin merveilleux, baigné de soleil.

Portrait de Jean-Claude Bernard, architecte du Quartier de l'Horloge
Le titulaire du Premier Grand Prix de Rome en 1960, et architecte en chef des bâtiments civils et palais nationaux, reste modeste et n’évoque pas ces titres pour évoquer sa longue carrière. Il fait référence à Sebastiano Serlio, l’architecte italien de la renaissance, pour illustrer sa vision d’un architecte généraliste qui est tout à la fois. L’architecture et l’urbanisme ne font qu’un. L’architecte est un ‘‘apprenti sorcier’’ qui manipule des concepts spatiaux, humains et statiques. ‘‘C’est l’espace entre les volumes qui m’intéresse’’.

En rupture avec l’urbanisme fonctionnel des années 70, il propose des solutions urbaines qui prennent en compte le tissu urbain traditionnel. ‘‘Une ville se refait sur elle-même’’. Aux côtés de Michel Ragon, il fut membre actif du GIAP (Groupe international d'architecture prospective).

Le Quartier de l’Horloge a occupé, pendant 13 ans, au moins une personne de son cabinet d’architecture qui a compté jusqu’à 45 employés. La conception s’est faite au fil de l’eau et des opportunités avec de nombreux rebondissements. C’est Françoise Giroux, alors Secrétaire d'Etat à la culture, qui, lors de l’inauguration du Centre Pompidou en 1977 demanda la conservation des façades sur la rue Rambuteau. Mais il était trop tard. Jean-Claude Bernard dû  alors redessiner personnellement la façade sur la Piazza. Afin de lui donner un caractère parisien, il choisit d’alterner pierre et enduits, et de donner à chaque appartement sa propre façade. C’est ainsi qu’est née la plus belle vue du Quartier de l’Horloge.
 

Portrait de Jean-Claude Bernard, architecte du Quartier de l'Horloge
Le mémoire, "Essais pour une ville totale", vaste projet d’une ville pour 600 000 habitants a-t-il influencé la conception? ‘‘Formellement non, intellectuellement oui. Plus qu’un manifeste, ce travail était une thèse dessinée.’’ 
Empathique, Jean-Claude Bernard est un homme d’action, plus à l’aise avec le dessin et les maquettes qu’avec les mots. Mais c’est surtout la rencontre de deux hommes, et une entente hors pair, qui a façonné l’image et l’organisation de l’ensemble immobilier. Jean-François Leroux, directeur de projet à la COGEDIM, et Jean-Claude Bernard ont travaillé d’arrache-pied pour défendre la réalisation d’un quartier de qualité.

Promoteur, pouvoirs publics et associations ont conçu ensemble le projet. Il fallut tout d’abord un consensus sur le périmètre du projet de réhabilitation des îlots insalubres. Un premier projet de l’architecte Jacques André Bertrand, une série de petites tours sur une dalle en béton, sera finalement abandonné au profit d’un quartier à l’échelle parisienne en contact avec le sol.  Il fallait très vite une esquisse.  Elle a été dessinée pendant l’été 1970. C’est l’époque des dalles avec des tours. Mais Jean-Claude Bernard, à l’abri des modes, propose un projet, qui n’est pas dans l’air du temps, avec un véritable ‘‘travail au sol’’ : des places, des rues, une cuvette pour amener de la lumière au centre. Il aime les ballades dans l’espace, sa vision de la ville est romantique. Il garde le souvenir, de son séjour à la Villa Medicis à Rome, du mélange des époques et des couleurs qui embellissent la ville. Le coloriste Jean-Philippe Lenclos sera engagé pour travailler sur le concept de couleurs des façades.

La genèse du projet, qui s’inscrit dans la réhabilitation ayant suivi le déménagement des Halles à Rungis, est assez originale puisqu’une association, constituée en 1967, sera très impliquée dans la programmation architecturale. La Ville de Paris et le Préfet les encouragent à travailler avec un promoteur. M. Maurice Wainer, excellent négociateur, défend alors avec force les intérêts des bonnetiers. Leurs commerces, petits, bénéficient de showrooms, moyens, et de stockage, très grands. C’est ainsi que le centre commercial du Quartier de l’Horloge est né! Des petits magasins avec de très grands sous-sols. Malheureusement les coûts trop élevés des locaux construits ont chassé ces commerçants et aucun bail ne garantissait les obligations des uns et des autres. AS ECO, un supermarché ouvert 24 heures sur 24,  fut le premier à s’installer dans la galerie marchande.
Les habitants de cet îlot insalubre sont en partie relogés, par le bailleur social 3F, dans le premier immeuble construit en 1973, sur le seul terrain disponible, au 7-8 rue du Grenier Saint-Lazare.
La Ville de Paris demanda des équipements. Une crèche et une école maternelle ont donc complété l’ensemble. Le programme du Quartier de l’Horloge est très dense. Il faut trouver des astuces. Une cour d’école sur un toit, un passage couvert…
L’architecte aime jouer avec les différences de niveaux, les gens doivent pouvoir circuler partout. Aujourd’hui il regrette les animations qui apportaient de la vie, comme le grand thermomètre, l’horloge animée, le banc, les fontaines. L’ensemble immobilier s’est aseptisé avec le temps. Est-il déçu du beige parisien qui a peu à peu remplacé les magnifiques enduits à la chaux dans les tons ocres ? ‘‘Non, car la ville doit pouvoir évoluer, il était d’ailleurs prévu dans le cahier des charges la possibilité de rajouts.’’ 

Jean-Claude Bernard est animé de cet ‘‘esprit de liberté’’.  Il faut pouvoir ‘‘accaparer l’espace de manière sauvage. J’aime l’intervention du hasard. C’est ça la vie’’.
 

Si vous avez aimé cet article lisez aussi:
Jean-Claude Bernard, du concept de la ville totale au Quartier de l'Horloge
De l'utopie du concept architectural à la promotion immobilière.

http://www.quartierhorloge.fr/Portrait-de-Jean-Claude-Bernard-architecte-du-Quartier-de-l-Horloge_a79.html

Partenaire Paris

MAIRIE DE PARIS

 Dès la conception du projet Golden Blog Awards, la Ville de Paris a souhaité initier un partenariat solide et pérenne avec les Comptoirs. Ainsi, elle co-organise l’événement depuis 5 ans et l’accueille dans les salons de l’Hôtel de Ville. Ce partenariat, dans le prolongement de l’engagement de la Mairie sur le numérique, marque la volonté d’offrir un évènement de qualité tout entier dédié aux blogueurs. En ouvrant ses murs à la blogosphère, la Maire de Paris, Anne Hidalgo, a souhaité saluer l’importance que revêt le travail des blogueurs, l’esprit de collaboration et la convivialité citoyenne en œuvre sur les réseaux sociaux. En décembre prochain, Paris ouvrira à tous sa nouvelle adresse web en .paris. Les blogueurs amoureux de Paris sont invités à participer à la conquête de ce nouveau territoire numérique 100 % parisien !