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Ecologie / Environnement

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A PROPOS

Un blog qui parle des animaux sauvages et domestiques. Il met en avant l’actualité animalière, mais aussi des cours de dressages, des opinions, des astuces pour le soin et le bien-être des animaux.

DERNIERS ARTICLES

Alimentation : Les aliments dangereux pour les rongeurs

Certains aliments sont parfois dangereux ou toxiques pour une race d’animaux.
Dans ce cas, il ne faut pas hésiter à se renseigner pour éviter d’empoisonner son compagnon.
Je vais ainsi vous apprendre les « Aliments dangereux pour les rongeurs ».

Petite note : Il faut savoir qu’il existe une grande variété de rongeurs, dont le hamster, le lapin, la gerbille, la souris, le rat, le cochon d'Inde, le chinchilla et bien d’autres.
Certains sont omnivores comme le hamster, mais ce n’est pas le cas de tous les rongeurs.
Il faudra donc adapter l’alimentation en fonction son rongeur afin de ne pas provoquer de situation grave qui aurait pu être évitée.
Dans le doute, il ne faut pas avoir peur de consulter un vétérinaire.

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Peu recommandé

Ce sont des aliments qui sont peu recommandés dans l’alimentation du rongeur.
Heureusement, ils n’empoissent pas le rongeur, mais ils ne devront pas faire partie des aliments de base à donner.

La viande/charcuterie : La viande peut détenir des bactéries comme la salmonelle, qui peut être dangereuse pour les rongeurs.
De même, un rongeur, ce n’est pas un carnivore, il n’a pas besoin de viande pour survenir à ces besoins.
La charcuterie est à bannir, car elle détient trop d’agents de préservation.

Les agrumes : Les agrumes sont déconseillés, car la peau de celle-ci contient une molécule appelée d-limonène. Cette molécule est cancérigène, particulièrement chez les rats.
Il est également déconseillé de donner des jus/sirop d’agrumes, car il est possible de trouver de la d-limonène dans ce produit.

Les aliments riches en sucre : Ces aliments peuvent créer de graves problèmes de santé au rongeur. On évite donc les bonbons et la nourriture trop sucrée.

Les aliments riches en sel : Le sel n’est pas toléré par les rongeurs, ce qui peut créer de graves problèmes de santé.

Les aliments pâteux ou collants : Les rats ne pouvant pas vomis, ainsi que d’autres rongeurs. Il vaut mieux éviter de donner des aliments pâteux ou collants comme le beurre de cacahuète, car ils risquent de s’étouffer très facilement.

Les boissons gazeuses : Ces boissons contiennent trop de sucrée et de gaz. C'est donc logique qu’elles n’aient pas leur place dans l’alimentation du rongeur.

Les pâtisseries et denrées riches en hydrates de carbone (biscuits, pâtes, etc.) : En quantité élevée, les hydrates de carbone provoquent la diarrhée.
De plus, les gâteaux ne sont pas faits pour les rongeurs.

Les champignons : Les champignons peuvent causer des allergies à certains rongeurs, il faut donc éviter d’en donner.

Le chou : Cet aliment est déconseillé, car il provoque des diarrhées, mais il peut être donné en toute petite quantité.

Le lait : Le lactose n’est pas digéré convenablement par certains rongeurs et il occasionne des diarrhées.

Les graines de tournesol : Même si elles ont bonne réputation, les graines de tournesol doivent également être interdite, car elles peuvent faire des ravages au niveau du foie.

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Toxique

Ce sont des aliments toxiques, pouvant provoquer la mort rapide chez les rongeurs, ils sont absolument déconseillés dans l’alimentation du rongeur.

L’alcool : inutile de dire que la consommation d’alcool n’est pas recommandée pour les rongeurs et peu être très toxique.

Le café et le thé : Le café et le thé sont à l’origine de troubles nerveux, ils sont donc très toxiques.

L’oignon, l’ail et l’échalote : C’est un aliment très toxique, il provoque une anémie détruisant les globules rouges et pouvant provoquer la mort chez les rongeurs.

Le chocolat : le chocolat est un des aliments les plus toxiques.
Celui-ci renferme une substance que les rongeurs ne parviennent pas à éliminer : la théobromine.
Ainsi, ingérée en grande quantité, l’intoxication peut entraîner la mort de l’animal.

La pomme de terre crue : La pomme de terre en elle-même n’est pas toxique, mais c’est certaines parties de cette dernière qui le sont.
Ainsi, la pelure et les parties vertes, qu’on retrouve parfois sur les pommes de terre sont toxique.
Car, elles détiennent de la solanine, qui est un alcaloïde très toxique. Elle se forme sur les pommes de terre surexposées à la lumière.
Cet alcaloïde affecte le système nerveux central s’il est ingéré en quantité significative.
Il faut aussi retirer le germe et les yeux des pommes de terre, car la solanine s’y accumule.
Attention : la solanine n’est pas détruite pendant la cuisson de la pomme de terre.

Le persil : Le persil devient toxique lorsqu’il est donné à de trop fortes doses quotidiennement chez le rongeur.

L’avocat : L’avocat est reconnu comme étant un fruit toxique pour les rongeurs.
De plus, c’est un aliment très gras, ainsi, c'est déconseillé, d’en donner à son rongeur.

La tomate verte : La tomate verte détient de la Tomatine, une substance proche de la solanine. Elle est donc toxique.
De même, les plants et les feuilles sont aussi mortels pour les rongeurs.

Les pépins et noyaux des fruits : Les pépins et les noyaux des différents fruits ne doivent pas être donnés aux rongeurs.
Car ils détiennent de l’acide cyanhydrique, un composant chimique proche du cyanure, qui s'accumule dans l'organisme du rongeur provoquant alors sa mort.

Les feuilles de rhubarbe : C’est connu, que les feuilles de rhubarbe sont toxiques et provoquent la mort. On n’en donne donc aucune à son rongeur.

Les graines de colchique : Ces graines sont un poison très violent, qui ne doit jamais se retrouver dans l’alimentation du rongeur.

Les haricots secs et crus : Peu importe le haricot, celui-ci contient des lectines antinutritives qui sont responsables en premier lieu d’un fort amaigrissement et de diverses carences. Puis en second lieu d’une agglomération des globules rouges à l’origine de la formation d’emboles, ce qui à long terme peut s’avérer mortel.

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http://mysterenaturel.canalblog.com/archives/2015/09/30/32708398.html

Ou acheter/adopter son animal ?

À un moment dans sa vie, on recherche, à avoir à côté de soi, un compagnon à poil, à plume ou à écaille.
Mais voilà, après avoir enfin fait son choix sur la race, une deuxième difficulté se présenter à vous.
Ou pouvez-vous vous procurer votre nouvel ami ?
C’est pour cela que je vais vous dire « Ou adopter/acheter son animal ».

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La décision est enfin prise, vous avez choisi d’avoir un animal de compagnie.
Vous avez regardé sans relâcher des livres et des sites web pour trouver la race qui vous correspond le mieux.
Ou encore, vous avez décidé d’y aller au coup de foudre. Peu importe le temps que ça prendra pour avoir la perle qui fera battre votre cœur.
Et pourquoi pas les deux à la fois ? Il faut mieux se renseigner sur plusieurs races avant de choisir sur un coup de cœur.
De même, il ne faut pas se sentir obliger d’acheter ou d’adopter un animal, car il correspond à vos critères.
Car malheureusement si l’animal ne se sent pas bien avec vous, ce sera de même pour vous.
Résultat, deux cœurs brisés. Mais celui qui risque d’être abandonné, ce n’est pas vous.
Bref, vous l’aurez compris, avant de vous jeter corps et âme dans l’adoption ou l’achat d’un compagnon, il faut bien réfléchir sur la chose.
Bien sûr, je ferais plus tard un article sur la question.

Mais partons du principe que vous n’avez aucun doute sur la question que vous savez parfaitement que vous avez les épaules pour avoir une boule de poil chez vous.
Maintenant, il ne vous reste plus qu’à vous procurer votre futur protéger.
Mais ou ?
Il existe plusieurs établissements où l'on peut acheter un animal ou en adopter un.
En voici justement la liste :

Note : Il faut savoir que cet article est le début de nombreux autres.
Je ne peux malheureusement pas faire un article entier sur les différentes structures en rapport avec l’adoption et l’achat, tellement il y a de chose à dire.
En soi, ce billet survole les différentes méthodes en mettant en avant les principaux avantages et inconvénients.
Néanmoins, je tiens à dire que je vais rédiger plus tard des articles qui parlent individuellement de ces établissements, pour montrer plus clairement leur fonctionnement.
Bref, le monde, de l’adoption et l’achat animalier, est bien plus complexe, surtout si l'on veut vraiment faire le bon choix.

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Dans un refuge/une association

Chaque année, de plus en plus d’animaux sont abandonnés. Heureusement de bonnes âmes ont eu l’idée de leur donner une seconde chance grâce à des refuges ou des associations.
En soi, vous pouvez trouver de nombreux animaux, qui ont besoin d’un foyer dans un tel établissement.
Parfois, c'est une association très connue comme la SPA, ou encore des moins connue, mais qui accueille autant que les autres.
Les refuges peuvent être tenus par des amoureux des animaux, mais aussi par des communes.
Bref, il en existe beaucoup près de chez soi.
Bien sûr, il ne faut pas hésiter à venir voir plusieurs fois l’endroit. De plus, si vous avez choisi l’heureux élu, vous avez la possibilité de prendre le temps de faire connaissance avec lui.

Avantage :
- L’animal est pucé et vacciné, voire dans certains cas castrer .
- L’association demande de nombreux papiers pour l’adoption, pour vérifier à qui il donne l’animal.
- Le prix d’adoption est très peu élevé, c’est en fait un financement participatif/forfaitaire.
- On trouve de très nombreuses races Loof ou Lof.
- Elle offre une seconde chance à un animal.
- Vous êtes assuré en cas de problème de santé ou physique survenant dans les jours suivants l'adoption.

Inconvénient :
- Impossible de connaître la provenance de l'animal ni même son âge avec exactitude.
- Certaines (très rare) associations mentent sur le passé de l’animal.

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Chez un particulier

On trouve souvent sur internet ou les journaux des ventes d’animaux venant de particulier, qui se sont retrouvées avec une portée.
Dans ce cas, on peut tomber sur des animaux très bien élevés et qui sont entourés d’une famille aimante.
Ou alors, sur des pauvres bêtes qui ne demandent qu'à quitter les lieux, car ils sont vus comme un poids au sein de cette habitation.
On peut aussi tomber sur un particulier qui n’est pas le propriétaire de l'animal, d’où l’importance de se renseigner.
Bref, si le vendeur ne s’intéresse pas à l'avenir de l’animal et cherche à s'en débarrasser à tout prix, il vaut mieux partir.
De même, il ne faut pas hésiter à visiter les lieux et faire connaissance avec la famille, avant d’acheter l’animal.

Avantage :
- L’animal est souvent bien équilibré, car il n’est pas séparé de sa mère.
- L’animal connaît déjà les règles de vie en famille.
- Le prix est intéressant, le don est assez courant.

Inconvénient :
- L’animal est rarement vacciné et pucé.
- L’animal est rarement Loof ou Lof.
- Le risque de tomber sur une mauvaise famille.
- Le risque de tomber sur un animal qui a déjà assimilé les mauvaises habitudes familiales.
- Vous n’êtes pas assuré en cas de problème de santé ou physique survenant dans les jours suivant l'adoption.

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Chez un éleveur

Pour les animaux de race particulière, il n'est pas rare de faire appel à un éleveur.
Malheureusement, on peut tomber sur des éleveurs peu scrupuleux et qui ne pensent qu’à vendre.
Pour éviter le problème, il y a plusieurs choses à vérifier :
- Les éleveurs sont identifiables par un numéro du répertoire des entreprises, dont il faut se renseigner.
- Un éleveur élève maximum 2 races, au-delà, il est plus intéressé par l'argent que par une espèce en particulier.
- Un éleveur pressant est mauvais, car il ne cherche qu’à vendre, et il ne pense pas au bien-être de l’animal.
- L’environnement de l’animal qui doit être propre et la possibilité de venir le voir tout au long de sa croissance montrent la transparence de l’éleveur.
- L’intérêt que manifeste l’éleveur sur vos habitudes et les futures conditions de vie de l'animal, en soi il veut savoir à qui il confie son protégé.
Bref, vous l’aurez compris, un bon éleveur est un amoureux de la race qu’il élève.
Un mauvais est celui qui veut vendre, au point de faire une usine à animal.

Avantage :
- Un animal qui est Loof ou Lof.
- Des conseils et renseignements très précieux donnés par éleveur.
- Un animal vacciné et pucé.
- Un suivi vétérinaire très professionnel.
- Toute la documentation administrative sur l’animal.
- La possibilité de trouver une race parfois très rare.
- Vous êtes assuré en cas de problème de santé ou physique survenant dans les jours suivants l'adoption.

Inconvénient :
- Le prix qui est exorbitant.
- Le risque que l'animal ait une maladie génétique due au croisement pour garder la race pure.
- Le risque de tomber sur un mauvais éleveur, d’où le besoin de se renseigner.
- L’animal est souvent vendu très jeune, ce qui crée un trouble du comportement.

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Dans une animalerie

On tombe souvent sous le charme d’un animal en animalerie qui se trouve derrière une vitrine.
Il faut savoir que certaines animaleries sont approvisionnées par des éleveurs du coin.
Par contre, d’autres animaleries, moins scrupuleuses, font provenir des animaux d’importations frauduleuses en provenance des pays de l'Est.
En soi, sans le savoir, en achetant un animal chez eux, vous risquez d'entretenir des réseaux illégaux.
De même, un animal exposé comme une marchandise ne grandira pas dans de bonnes conditions. Il ne sera pas sociabilisé au contact des hommes et il peut être exposé à des maladies dans des cages ou des vivariums surpeuplés.
Vous risquez même d'acheter une femelle pleine sans le savoir dans le cas des rongeurs.
Sachez qu’une bonne animalerie donnera obligatoirement les papiers de provenance de l’animal, peu importe sa race. Si elle ne veut pas les fournir, c’est qu’il y a anguille sous roche.

Avantage :
- Des prix qui peuvent varier, mais moins chers que chez un éleveur.
- Un animal vacciné et pucé.
- Vous êtes assuré en cas de problème de santé ou physique survenant dans les jours suivants l'adoption.
- Normalement, vous avez toute la documentation administrative sur l’animal.

Inconvénient :
- Les animaux sont rarement Loof ou Lof.
- Vous ignorez la provenance de l'animal et les conditions dans lesquelles il a été élevé.
- L’animal est souvent vendu très jeune, ce qui crée un trouble du comportement.
- Le risque que l'animal soit malade, car les cages sont surpeuplées.

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Lors d’un marché/d'une exposition

Par moment, des foires, marchés ou expositions aux animaux sont organisés. Ce sont généralement des éleveurs qui viennent lors de ces événements pour vendre leurs portées en direct.
Le gros problème de cet événement est le manque d’hygiène, et le risque de transmission de maladie.
De plus, les éleveurs comptent sur l’effet coups de cœur, en n’hésitant pas une seconde à vous mettre l’animal dans les bras.
Il n’est pas rare de voir des animaux exotiques, où il faut des documents spécifiques pour en détenir un, qui sont vendus à l’arracher sans vérifier si l’acheteur serait capable de s'en occuper.
En plus, les animaux sont renfermés dans des cages tout en étant entourés du bruit et de la chaleur.
Un endroit très désagréable pour eux, leur faisant, subir un stress inutile.

Avantage :
- Les animaux sont Loof ou Lof (par moment).
- Un animal vacciné et pucé.
- Normalement, vous avez toute la documentation administrative sur l’animal.
- Des prix qui peuvent varier, plus ou moins chère que chez un éleveur.

Inconvénient :
- Vous ignorez les conditions dans lesquelles l’animal a été élevé.
- L’animal est souvent vendu très jeune, ce qui crée un trouble du comportement.
- Le risque d'avoir un animal stressé à cause de l’environnement et du bruit.
- Vous n’êtes pas assuré en cas de problème de santé ou physique survenant dans les jours suivant l'adoption.
- Le risque que l'animal ait une maladie génétique due au croisement pour garder la race pure.
- Le risque de tomber sur un mauvais éleveur, d’où le besoin de se renseigner.

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Petit conseil

Vous l’aurez compris, il faut rester vigilants quand vous achetez un animal. Surtout lors d’un marché, d'une exposition ou dans une animalerie.
Car il existe, malheureusement en France, des animaux introduits en fraude de pays où les critères de race et de santé sont bien inférieurs aux nôtres et où les conditions d'élevage sont parfois intolérables.
Dans tous les cas, n'achetez jamais un animal de compagnie sans avoir visité l’endroit où il a grandi.
Vérifiez ainsi la propreté des lieux, mais aussi la santé des parents.
N’hésitez pas à examiner votre futur protéger sous toutes les coutures pour vous assurer qu'il ne présente ni blessures, ni maladies.
De même, il ne faut pas avoir peur de poser des questions au vendeur, mais aussi se renseigner sur lui.
Les meilleurs témoignages sont ces anciens clients, qui n’auront pas peur de diffuser leur mécontentement.
Notez aussi qu’un vendeur sérieux aura également fait les premiers vaccins et il aura vermifugé l’animal.

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Sachez aussi que si vous passez par un éleveur ou un particulier pour acheter un animal, il doit vous fournir un certain nombre de documents, sois :

Un éleveur professionnel doit vous remettre :
- Un contrat de vente avec le nom de son vétérinaire.
- Le certificat de naissance pour les animaux de race (il prouve que l’animal est provisoirement inscrit au Lof pour les chiens ou Loof pour les chats)
- La carte d'identification de l’animal prouvant qu'il a été tatoué ou équipé d’une puce électronique.
- Un certificat établi par un vétérinaire précisant les vaccinations réalisées.

Quand un particulier, il doit vous fournir :
- Un certificat de bonne santé établi par un vétérinaire.
- La carte d’identification de l’animal (préalablement tatoué ou pucé).

Dernière chose, sachez que si vous achetez un animal auprès d'un professionnel, vous pouvez demander le remboursement si, dans les deux ans suivant l'achat, il apparaît que l'animal souffre d'un problème qui existait avant que vous l'achetiez (par exemple une malformation cardiaque).

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http://mysterenaturel.canalblog.com/archives/2015/09/26/32687161.html

À 20 ans, il a une idée pour nettoyer les océans

On se retrouve par moment face à une situation qui permet de faire germer une idée.
Certain l’ignore, d’autre, par contre, se donne la peine de la faire fleurir.
C’est le cas de ce jeune étudiant néerlandais de 20 ans, Boyan Slat, qui a eu une idée brillante pour d’épurer les océans de ces déchets.
Il aurait pris conscience de la nécessité de nettoyer les mers à 16 ans, lors d’une expédition de plongée en Grèce, où il a pu observer plus de sacs plastiques que de poissons.

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Son principe est simple, c’est juste un système de longues boues flottantes placées sous l’eau à des endroits stratégiques contre lequel se colleront les plastiques. Ces derniers seront ainsi piégés, et stockés dans une tour centrale flottante pouvant contenir jusqu’à 3000 mètres cubes de plastique.
Les déchets seront ensuite récupérés par camion-citerne quelques semaines après pour être recyclés.
Selon lui, en moins de dix ans, la moitié des déchets de l’Océan Pacifique pourrait être récupérée et exploitée.

Une idée assez simpliste, mais efficace, pourtant ce jeune étudiant n’a trouvé personne pour l’épauler lors de cette aventure, il a donc créé sa propre fondation.
Il a ensuite choisi un site de financement participatif pour présenter son projet sous le nom d' « Ocean Cleanup ».
Au final, son objectif est rapidement atteint : 38 000 personnes de 160 pays ont dépensé plus de 2 millions de dollars en 19 jours (environ 1,54 million d’euros).
Son TED a d’ailleurs été visionné 1,6 million de fois. Au final, son idée est tellement audacieuse qu’il a été le plus jeune lauréat du prix « Champions de la Terre » des Nations Unies.

Ainsi, cet élève de l’Université de Technologie de Delft annonce le 20 mai, lors d’une conférence sur l’innovation, que son projet débuterait dès le début de l’année 2016.

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Bientôt à l’eau

Le premier capteur de plastique sera donc mis près de l’île de Tsushima située entre le Japon et la Corée du Sud. Cette construction fera deux kilomètres de large et elle sera destinée à nettoyer la zone pendant deux ans.
Il faut savoir qu’à Tsushima, pour 40 000 habitants, on compte un mètre cube de plastique rejeté dans l’océan par an et par habitant. Ce qui est énorme.

Le « Plastic catcher » suivant fera 100 kilomètres de long, et il sera installé en plein coeur de l’Océan Pacifique, entre la Californie et Hawaii.
Ce lieu est une zone de croisement de courants marins tristement célèbre pour son taux de pollution.
Boyan Slat espère y aspirer la moitié de la « Soupe de plastique » présente dans ces eaux.
« Soupe de plastique » étant le nom du huitième continent, composé uniquement de déchets plastiques et non dégradables et qui continuent de s’agrandir de plus en plus chaque jour.

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Quelques septiques

Pour beaucoup d’experts, ce projet serait totalement irréalisable.
Selon eux, l’initiative ne traiterait qu’une infime partie du problème de la pollution des mers.
De même, certaines personnes se demandent, l'impacte qu'aurait de telles boues sur la faune et la flore océanique.
D’autres, se demandent si un tel système pourrait bien capturer les micros particule de plastique qui circulent dans l’eau.
De plus, pour que la totalité du projet aboutisse et que l’ensemble des flots soit nettoyé, il faudrait au moins récolter 300 millions de dollars.

Pourtant Boyan ne se décourage pas, il veut démontrer la solidité de son projet, pour cela il a le soutien d’une centaine de scientifiques et d’ingénieurs bénévoles.
Il a également organisé une immense campagne de recrutement pour étoffer son équipe.
Boyan a aussi abandonné ses études à l’université pour avoir du temps à consacrer à son projet et sa fondation.

Beaucoup de gens critiquent ce jeune homme, ne voyant pas la nécessiter d’une telle idée.
Pourtant, quand on sait que, chaque année, 270 000 tonnes de déchets plastiques sont rejetés dans les océans, on voit le besoin de nettoyer notre écosystème.
Bien sûr, le nettoyage n’est pas la seule chose à faire. Il faut aussi réduire, voir totalement arrêter de jeter nos déchets dans les océans.
En soi, une bonne idée qui pourrait bien évoluer vers une technologie plus concrète.
On ne sait pas comment sera l’avenir, mais j’espère que ce projet aboutisse en bien.
Bref, ne faut-il pas mieux une petite idée au goût rêveur, qu’aucun projet du tout ?

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http://mysterenaturel.canalblog.com/archives/2015/09/17/32641151.html

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